La solitude et le voyage de l’artiste.
Compsition: Kinkéliba, bissap, rouille, huile de palme.
Sur toile de malicane peint à la chaux vive.
Dim 80/45
Dans le silence de la solitude, un chant se lève, dans l’écho d’un monde où le cœur s’élève. c’est dans le calme de l’âme que se tisse la trame, de pensées profondes, sous la lune qui enflamme.
Wêtt, douce compagne aux voiles de mystère, dans ton étreinte, l’esprit voyage solitaire. Dans le murmure du temps, en ton sein repose, un univers secret, où fleurit la rose.
Chaque pas dans ton royaume, un voyage intérieur, où les ombres dansent, en quête de lueur. Dans ce ballet silencieux, wëtt enseigne, les leçons de la vie, dans une étreinte baignée.
Elle est le refuge des âmes vagabondes, dans son manteau de paix, où le monde gronde. Dans son silence, se trouve une clarté profonde, un chemin vers soi, un lien qui nous inonde.
Wêtt, tu n’es pas un désert, mais un jardin, où germent les idées, où naît le destin. Dans ta quiétude, l’âme se découvre, libre et sauvage, dans tes bras elle couvre.
Mais dans ton essence, se cache une douleur, un cri muet, un appel au bonheur.
Wêtt, dans ton giron, le cœur parfois pleure, pour un mot, un regard, une présence qui demeure. Pourtant, dans la danse de la solitude, se trouve la force, la plénitude, un lieu pour grandir, pour être, pour sentir, dans le silence de soi, apprendre à sourire.
Wêtt, tu es la toile de nos pensées, l’écrin de nos rêves, dans le temps versé. Dans ton étreinte, se trouve la liberté, de connaître son âme, dans sa vérité.