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Composition:
Peinture acrylique, bissape, huile de palme, sur toile de malicane peinte à la chaux vive.
Dans la pierre figée, le temps sculpte un visage, une femme éternelle, empreinte du passé sage. Ses traits, œuvre du temps, dans la roche gravés, raconte une histoire, des moments enchantés.
Les rides du temps, comme des rivières tracées, sur ce front immobile, des époques effacées.
Ses yeux, profonds lacs, gardiens de mille secrets, révèlent des légendes que le temps a fait naître.
Ses lèvres, scellées, murmurent des chansons, des mélodies anciennes, des échos d’antan.
Dans cette pierre silencieuse, la vie captive, une symphonie muette, où le temps s’esquive.
Les contours délicats, comme des pétales de fleurs, expriment la grâce, l’empreinte des heures. La sculpture immuable, un hymne à la beauté, de la femme éternelle, dans la roche figée.
Les saisons ont dansé, autour de ce visage de pierre, chantant la danse du temps, éphémère lumière. Sculptée par le vent, la pluie, et le doux soleil, elle demeure debout, dans l’éternité sans pareil. Au fil des ans, elle devient une relique sacrée, un témoignage muet d’une vie bien-aimée.
Dans la roche immuable, elle reste un hommage, à la femme éternelle, dans ce poème du temps.