100/80
Composition peinture acrylique, bissape, rouille liquide, kinkéliba. Sur toile de malicane.
Dans la savane vaste, sous la lueur d’étoiles, un éléphant solitaire, marchant sans voiles. Géant majestueux, silhouette solennelle, son cœur lourd porte le poids d’une aquarelle.
Sous la lueur de la lune, pas de troupeau, juste le doux murmure du vent en écho. Les prairies infinies sont sa vaste scène, l’éléphant solitaire, roi sans reine.
Son dos porte les traces du temps qui danse, rides comme des rivières, histoire immense.
Dans l’ombre de la nuit, il se déplace, écho d’une vie, où l’isolement s’enlace.
Sa trompe s’élève comme un pinceau, effleurant l’air, doux murmure de sa peau.
Les étoiles se reflètent dans ses yeux sages, éléphant solitaire, gardien des rivages.
Au clair de l’aube, son ombre s’étire, l’éléphant solitaire, symbole qui respire. Il avance avec une grâce infinie,
pas solitaire, mais danse infinie.
Au coucher du soleil, il contemple l’horizon, écoute le murmure du temps qui sonne. L’éléphant solitaire, sage et altier, garde en son cœur un monde entier.
Dans la solitude, il trouve une sérénité, chant silencieux de l’âme apaisée. Éléphant solitaire, gardien du silence,
Son voyage solitaire est une élégance.
Au-delà des plaines, des rivières et des cieux, l’éléphant solitaire trouve son propre lieu. Dans la vaste savane, sous les étoiles en lumière, il danse seul, l’éléphant solitaire.